
C’est l’histoire de 4 garçons dans le cosmos. Adulés aux quatre coins de l’univers (qui a certainement autre chose que des coins là où il finit, mais c’est un détail), nous vous présentons ces stars intergalactiques pour lesquelles Albator et Goldorak eurent ces doux mots : « Sans eux, la musique n’aurait jamais atteint l’harmonie cosmique et continuerait à être jouée avec des os et des crânes par une bande de néandertaliens bourrés devant les murs crados de leur caverne ».
Pour chaque note qu’ils répandent dans le vide angoissant entre les galaxies, sachez qu’une nouvelle étoile s’allume. Gloire aux Ludwig car sans eux, nous vivrions dans un univers de silence et d’autotune interplanétaire.
Nous chantons plus faux qu’Arielle Dombasle
Nous moonwalkons bien mieux qu’Mickael Jackson
Sang froid ou pas, on est antisocial
Et l’grand Freddy nous a filé sa couronne
Nous beuglons plus fort que Motorhead
Nous pleurons bien mieux que Robert Smith
Même Snoop Dog ne joue pas aussi raide
Et Madonna prie que Dieu nous bénisse
Nous sommes plus morts que tous les Ramones
Nous sommes plus foncedés que Kurt et Courtney
Depuis 83, Manœuvre en est aphone
Et les inrocks sont en PLS depuis Vengeur Masqué
Refrain
Nous sommes les Beatles du cosmos
Nul ne maîtrise aussi bien le chaos
Nous sommes les Led Zep de l’espace
Depuis des lustres on a la classe

Si tu veux toi aussi être un garçon dans le cosmos :
Ici commence le voyage interstellaire de tes oreilles !